CHAPITRE 1
CONCEPT GENERAL DES ELECTIONS
Bien que les élections soient utilisées dans l’ancien Athènes, en Rome, et dans la sélection du pape et le saint empereur roman, les années 1600 marquent le début de la forme moderne d’élection quand a commencé l’émergence du gouvernement de représentation en Europe et en Amérique du nord. Pendant ce temps, la société n’était plus sous le contrôle des Aristocrates et que les institutions gouvernementales telles que le parlement Britannique commençait à être considéré comme une institution représentant les intérêts du peuple au lieu de ceux des riches et des noblesses.
Même qu’il était devenu acceptable que le pouvoir de gouvernement reste dans l’accord du peuple et que le gouvernement doit gagner le support du peuple à des intervalles réguliers comme l’explique l’encyclopédie Britannique.
« Once government were believed to derive to drive their power from the consent of the governed and expected to seek that consent regularly, it remained to decide precisely who was to be include among the governed whose consent was necessary”.
Il était difficile de savoir qui avait le droit de participer aux élections. Ce n’était qu’en 1920 que le droit de voter des hommes adultes à été assuré à travers l’Europe de l’ouest et l’Amérique de nord. Le droit de voter a été accordé en 1944 aux femmes en France, en 1944 en Belgique et en 1971 en Suisse.
Les élections constituent un aspect incontournablement important de la vie politique, on peut distinguer les élections locales et les élections à portée nationale.
1. Les élections Municipales
2. Les élections Cantonales
3. Les élections Régionales.
On peut encore distinguer les élections politiques et les autres types d’élections. Les élections politiques sont celles que nous venons de mentionner et ont pour but de designer les responsable politiques.
Le pouvoir dans une société démocratique se fonde sur la volonté du peuple. Le bulletin de vote constitue l’instrument principal par lequel le peuple exprime sa volonté et façonne son gouvernement.
La participation au scrutin n’est pas qu’un droit, c’est aussi un devoir civique. Le vote des citoyens leur donne le moyen de participer directement ou indirectement aux décisions qui touchent à la vie de la société, et l’issue d’une élection contribue à déterminer l’orientation de la politique nationale.
L’importance capitale d’élection libre, régulière et transparente est reliée à plusieurs facteurs. Tout d’abord, elle réaffirme l’autorité de l’état de droit. Ensuite, elle éclaircit les questions en jeu de tous les candidats qui sont obligés de se présenter aux électeurs leurs positions sur les dossiers ainsi que leurs projets de programme. Enfin les élections confèrent aux citoyens le pouvoir de faire leur choix parmi de divers candidats.
Dans toute société démocratique, le citoyen a également le pouvoir de participer au processus électoral au-delà de la simple participation au scrutin. Il peut aider tel candidat au tel parti politique en prenant part à ces activités de campagne électorale. Il peut fournir des services, par exemple communiquer à d’autre citoyen des informations sur les candidats et sur les partis, ou encore aider à assurer le transport d’électeur aux bureaux de vote le jour du scrutin. Il peut s’intégrer à une campagne électoral en organisant des rassemblements et des conférences et surtout, le citoyen engagé peut encourager ses confres à voter pour son candidat de choix. Tout cela constitue les fondements d’une démocratie dynamique.
Il est agréable de noter que le Nigeria depuis l’indépendance, a traversé beaucoup de moments d’instabilité politique de ce fait le Nigeria a eu du mal à concrétiser ses aspirations.
Constitués a partir de grands royaumes, les territoires sont unifiés dans la nouvelle colonie du Nigeria en 1914. Le 1er Octobre 1960, le pays accède à l’indépendance, parlent d’élections, la première élection a eu lieu en 1959, Ujo, A. A. (2000 :3) confirme cela quand il dit :
« Institutionalization of election has been a major problem for the democratization process of Nigeria. The first general election was held 1959”
C'est-à-dire :
« L’institutionnalisation de l’élection a été un problème majeur pour le processus de la démocratique au Nigeria. La première élection général a lieu en 1959. »
Un première coup d’état, en 1966 par General Kaduna Nzewgu, porte au pouvoir le lieutenant- colonel Yakubu-Gown entre 1967 et 1970, celui- ci fait face a une guerre civile consécutive à la tentative de sécession de la province de Biafra. En 1975, un nouveau coup d’état installe au pouvoir le General Murtala Mohammed, assassine quelque mois plus tard. Le General Olusegun obasanjo lui succèdes il remet, en 1979 le pouvoir a un président démocratiquement élu, Alhaji Shahu Shagari.
Réélu en 1983, Shagari est renversé par le General Mohammed Buhari, écarte à son tour en 1985. Le General Ibrahim Babagida prend la tète de l’état mais une crise politique consécutive causée par l’annulation de l’élection présidentielle du 12 juin 1993, l’oblige à démissionner. Le gouvernement civil intérim qui le remplace est renverse trois mois plus tard par le General Sani Abacha qui instaure un régime dictatorial.
En 1995, le pays est mis hors ban du Commonwealth après la pendaison de l’écrivain Ken Saro Wiwa et de huit autre membres du mouvement pour la survie du peuple Ogoni (MOSOP), à la mort de General Sani Abacha, en 1998, le General Abdusalami Abubakar, chef d’Etat major des l’armee le remplace, et rend un an plus tard les rênes du pouvoir aux civils, avec l’élection d’Olusegun Obasanjo à la présidence. Réélu en 2003, il a été succède par le feu Umaru Musa Yar-adura. A sa mort le 5 mai 2010, Umaru Musa Yar-Adua est remplacé par le vice-président Goodluck Jonathan qui est l’actuel président du Nigeria.
Apres cinquante ans d’indépendance, le Nigeria a été sous la direction des civiles entre 1959 et 1966, ensuit entre 1979 et 1985 et depuis 1999 jusqu’au jour d’aujourd’hui.
Ci-dessous est la liste des présidents Nigérians :
1.5 Histoire de la vie Politique Ivoirienne : Ancienne colonie française, la cote d’ivoire est un pays de l’Afrique de l’ouest. L’histoire politique de la cote d’ivoire n’est pas complète sans le nom de Félix Houphouët-Boigny. Elu députe a l’assemblée nationale française en 1945 il devient le
premier président de la cote d’ivoire ayant remporté largement l’élections présidentielle du 27 novembre 1960. Houphouët Boigny alors renforça son pouvoir en s’appuyant sur le PDCI (Parti démocratique de cote d’ivoire) devenu parti unique, et en écartant ses successeurs potentiels.
En 1983, la capitale est transférée à Yamoussoukro la ville natale du président. En 1990 le régime du président Houphouët Boigny instaura le multipartisme, Dirigé Par l’historien Laurent Gbogbo. L’opposition échine aux élections de 1990 après les élections, Houphouët nomma Alassane Ouattara comme le premier ministre.
L’ouverture d’une nouvelle page dans l’histoire de la politique Ivoirienne est marquée par le décès le 7 décembre 1993 de celui qui a été le président depuis l’indépendance du pays le 7 aout 1960. Le président de l’assemblée Henri Konan- Bédié, assura l’intérim et a été élu Président en 1995. En 1999, un coup d’état dirigé par le General Robert Guei installa, celui- ci a été la tête du pouvoir. Il s’engagea à organiser des élections. Alassane Ouattara ne participa à cette élection puis qu’il a été empêché par le conseil constitutionnel. Apres élection qui a été remportée par Laurent Gbagbo, le pays entra alors dans les conflits. Pour baisser la tension, le chef des forces Nouvelles, Guillaume Soro, a été nomme premier Ministre dans le Gouvernement de Laurent Gbagbo.
Ayant des difficultés à organiser des élections en 2005. Gbagbo allongea son mandat sous prétexte d’insécurité. La dernière élection en cote d’ivoire, celle de 2010 a vue, selon le résultat proclamé par la Commission Electorale, Alassane Outtara remporter l’élection, pour compliquer les affaires, la conseil constitutionnel, loyale à Gbagbo annule un résultat proclamé par la commission élections indépendante de la cote d’ivoire, reconnu par la communauté internationale. Le pays est dirigé par deux présidents et deux gouvernements.
Apres le refus de Gbagbo de céder le pouvoir, il a été capture par les troupes loyales à Alassane Ouattara. Le conseil constitutionnel a reconnu la victoire par la suite d’Alassane Ouattara après la capture de Laurent Gbagbo. La cérémonie d’investiture d’Alassane Dramane Ouattara a eu lieu le 21 mai 2011 à Yamoussoukro en présence d’une vingtaine de Chefs d’Etats, en occurrence le président français Nicolas Sarkozy.
Accounting/ Audit/ Finance Jobs
Administration/ Office/ Operations Jobs
Advertising/ Social Media Jobs